La fête du vélo, Festiv’idées, c’est avant tout des moments de partage et d’échange, où l’écomobilité rime avec convivialité.
Philosophie de la fête du Vélo
Les raisons de promouvoir le vélo et les alternatives à la voiture individuelle sont nombreuses. La fête du vélo, Festiv’idées, se fixe deux lignes directrices:
- Proposer des animations culturelles et des spectacles autour du vélo et de la mobilité : nous contribuons à l’offre culturelle du gapençais, proposons une palette d’activités pour tous, et des spectacles gratuits pendant trois jours.
- Profiter de ces instants pour toucher le grand public et sensibiliser aux atouts du vélo, du covoiturage, des transports collectifs et des mobilités douces en général : le public qui vient n’est pas toujours bien informé, le festival est donc un moyen de promouvoir les modes de déplacements alternatifs à la voiture individuelle.
[highlight]S’amuser et s’informer sont les credos du Festiv’idées.[/highlight]
Pourquoi la fête du Vélo ?
Ce qui nous anime à Mobil’idées, en tant qu’organisateur de cet évènement :
– L’environnement et le réchauffement climatique : Le secteur des transports émet dans l’atmosphère 34% des émissions de CO2 en France.
– L’aménagement et l’intermodalité : la voiture individuelle entraîne la saturation des villes. Parkings toujours trop petits, pollutions, embouteillages aux heures de pointes, nuisances sonores… Une ville apaisée privilégie les mobilités douces (marche, vélo) et collectives (transports en commun, covoiturage).
– Santé publique : On oublie souvent que se déplacer à pied ou à vélo tous les jours permettrait de baisser à grande échelle les risques diabétiques, cardiovasculaires… et de combler le déficit de la sécurité sociale…
– Sécurité routière : Le vélo est encore loin d’avoir toute sa place sur la voirie face aux automobiles. A l’inverse, la voiture ôte encore la vie à 40 000 personnes en Europe chaque année.
– Pouvoir d’achat : Tout compris, une voiture coûte environ 5300 € par an, soit 25% du budget moyen des ménages français. Trouver des alternatives revient souvent à proposer des solutions plus économiques.
– Droit à la mobilité : la mobilité est devenue quotidienne et souvent indispensable (travail, courses, loisirs…). Rendre les déplacements accessibles à tous est aussi un facteur de cohésion sociale.
[separator color=’#DDDDDD’ thickness=’1′ up=’20’ down=’20’]
L’édition 2013 en vidéo
[separator color=’#DDDDDD’ thickness=’0′ up=’20’ down=’20’]